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Finance d’entreprise

Pilotez votre croissance avec une vision financière claire, des outils fiables et des indicateurs qui transforment vos chiffres en leviers de décision stratégique.

Comment optimiser son contrôle budgétaire en période d’incertitude

Les périodes d’incertitude, crises économiques, instabilité politique, fluctuations des matières premières, inflation ou encore chocs sanitaires mettent les entreprises à rude épreuve. Dans un
tel contexte, le contrôle budgétaire ne devient plus qu’un simple outil de suivi : il devient un véritable levier stratégique de survie et de compétitivité.
Cet article propose des méthodes concrètes pour renforcer son contrôle budgétaire, gagner en réactivité et piloter efficacement la performance en période d’instabilité.
1. Repenser le budget : de l’annuel au révisé en continu
Traditionnellement, beaucoup d’entreprises établissent un budget annuel fixe. En période de forte incertitude, cette pratique peut rapidement devenir obsolète.
Conseil pratique :

  • Mettre en place un rolling forecast (budget révisé en continu, par trimestre ou par semestre).
  • Ajuster régulièrement les hypothèses (ventes, coûts, taux de change, prix des matières premières).

Exemples : Une PME importatrice de produits alimentaires ajuste son budget tous les 3 mois selon l’évolution des taux de fret maritime. Une société de BTP révise mensuellement ses hypothèses de coûts matériaux (ciment, fer) pour éviter des écarts budgétaires explosifs.

2. Identifier et suivre les bons indicateurs
En période d’incertitude, le pilotage doit se concentrer sur les variables les plus sensibles au contexte externe.

Indicateurs clés à suivre :

  • Cash-flow opérationnel (flux de trésorerie réels).
  • Coûts variables critiques (énergie, transport, matières premières).
  • Délais clients / fournisseurs (risques de trésorerie liés aux impayés).
  • Point mort (seuil de rentabilité) pour savoir quand l’activité devient déficitaire.

Exemple :
Un cabinet de services juridiques a intégré dans son tableau de bord un suivi hebdomadaire du délai de règlement des clients. Résultat : réduction des créances douteuses de 20 % en un an.

3. Digitaliser le contrôle budgétaire
L’utilisation d’outils modernes comme Power BI, Excel avancé ou solutions ERP permet de gagner en réactivité et fiabilité.

Conseils pratiques :

  • Centraliser les données financières et opérationnelles.
  • Mettre en place des tableaux de bord automatisés (actualisation quotidienne ou hebdomadaire).
  • Utiliser des scénarios (“what-if analysis”) pour anticiper plusieurs situations possibles.

Exemple :
Une PME industrielle au Togo a mis en place un reporting Power BI avec trois scénarios :

  • Pessimiste (hausse du coût de l’énergie +10 %
  • Central (stabilité)
  • Optimiste (réduction des frais logistiques de 5 %)

Cela a permis à la direction de préparer à l’avance des décisions correctives selon l’évolution réelle du marché.

4. Renforcer la culture du contrôle de gestion
Le contrôle budgétaire ne doit pas rester dans les mains du seul directeur financier ou du contrôleur de gestion. Il doit être partagé avec les responsables opérationnels.

Conseils pratiques :

  • Former les managers à lire et interpréter un tableau de bord.
  • Organiser des réunions budgétaires courtes mais régulières (mensuelles ou trimestrielles).
  • Responsabiliser chaque département sur ses coûts et ses écarts.

Exemple :
Dans une société énergétique, le suivi des consommations de carburant des véhicules de chantier a été confié au responsable logistique. Résultat : baisse de 15 % des dépenses grâce à une meilleure sensibilisation des chauffeurs.

5. Gérer les risques et scénarios extrêmes
En période d’instabilité, l’intégration de la gestion des risques dans le contrôle budgétaire est essentielle.

Actions concrètes :

  • Établir un plan B et un plan C (scénarios de crise).
  • Prévoir une réserve budgétaire pour absorber les imprévus (5 à 10 % du budget global).
  • Utiliser des techniques de “stress test” (ex. : que se passe-t-il si les ventes chutent de 20 % ou si le dollar grimpe de 15 % ?).
    Exemple :
    Une entreprise de distribution en Guinée a prévu un scénario extrême avec une baisse de 30 % de ses ventes due à une crise logistique. Grâce à ce plan, elle a pu réduire temporairement ses stocks
    pour éviter un blocage de trésorerie

6. Associer la direction générale et le conseil d’administration
En période d’incertitude, le contrôle budgétaire doit être un outil de gouvernance. Les dirigeants doivent avoir une vision claire et rapide des risques financiers.

Conseil pratique :

  • Présenter un reporting synthétique et visuel (3 à 5 pages maximum).
  • Mettre en avant les indicateurs de survie : cash disponible, rentabilité par produit, dettes critiques.

Conclusion
Le contrôle budgétaire, en période d’incertitude, doit évoluer d’une approche statique et annuelle vers une démarche flexible, digitale et orientée risques. L’entreprise qui réussit à :

  • réviser fréquemment ses hypothèses,
  • suivre les bons indicateurs,
  • utiliser les bons outils,
  • impliquer ses managers,

Sera capable de réagir plus vite, de limiter ses pertes et même de saisir des opportunités dans un environnement mouvant.
En résumé, l’incertitude n’est pas une fatalité : c’est un appel à une gestion plus agile, proactive et connectée.

Passez d’un budget subi à un pilotage maîtrisé : transformez votre contrôle budgétaire en avantage stratégique, dès maintenant.

Audit interne

Renforcez la transparence, maîtrisez les risques et améliorez la performance de vos processus grâce à un audit interne rigoureux et orienté résultats.

Les 5 erreurs les plus fréquentes en mission d’audit et comment les éviter

Tout type d’audit, qu’il soit interne, externe, financier ou opérationnel, reste un processus stratégique servant à améliorer la gouvernance, à détecter les risques ainsi qu’à renforcer la confiance des parties prenantes. Néanmoins, la majorité des sessions d’audit échouent à produire des résultats à la hauteur des attentes à cause des mêmes erreurs.

Cet article présente les 5 erreurs les plus fréquentes lors des missions d’audit, ainsi que des méthodes concrètes pour les éviter.

1. Ne pas bien définir les objectifs de la mission

Erreur fréquente : L’audit est lancé sans objectifs clairs ni périmètre précis. Résultat : un rapport trop large, flou, qui n’apporte pas de valeur ajoutée.

Exemple concret :
Un audit interne dans une société de production avait pour objet « analyser les risques de production ». Par manque de définition d’objectifs, l’équipe d’audit a abordé à la fois la maintenance, les stocks, la qualité et la sécurité… L’ensemble des éléments dans le rapport final n’a pas pu être exploité par la direction tant il était dispersé.

Comment éviter :

  • Définir en amont des objectifs SMART (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes, Temporellement définis).
  • Formaliser une charte de mission précisant périmètre, objectifs et attentes de la direction.
  • Valider ces objectifs avec le comité d’audit ou le top management.

2. Négliger la phase de planification

Erreur fréquente : Se précipiter dans la collecte d’informations sans avoir élaboré de plan d’audit solide.

Exemple concret :
Un audit de conformité fiscale dans une PME a été lancé sans analyse préliminaire des risques.
L’équipe a consacré du temps à contrôler des aspects mineurs (frais de déplacement), alors que le principal risque concernait les prix de transfert.

Comment éviter :

  • Réaliser une cartographie des risques avant de démarrer.
  • Identifier les zones sensibles où se concentrer (fraude, conformité, processus critiques).
  • Définir un planning détaillé : phases, entretiens, tests, livrables

3. Collecter des preuves insuffisantes ou inappropriées

Erreur fréquente : L’auditeur formule des conclusions sans disposer d’éléments probants solides, ou s’appuie sur des témoignages sans vérification factuelle.

Exemple concret :

Lors d’un audit de trésorerie, un auditeur s’est basé uniquement sur des déclarations verbales du comptable concernant les rapprochements bancaires. L’absence de vérification documentaire a conduit à ignorer un écart significatif.

Comment éviter :

  • Appliquer la règle des 3E : Exactitude, Exhaustivité, Évidence.
  • Utiliser plusieurs sources : documents comptables, observations directes, confirmations externes.
  • Documenter systématiquement chaque conclusion avec des preuves archivées dans le working paper.

4. Manquer d’indépendance ou d’objectivité

Erreur fréquente : L’auditeur, par proximité avec les audités ou pression hiérarchique, n’ose pas formuler certains constats ou recommandation.

Exemple concret :

Un auditeur interne n’a pas signalé des dépassements budgétaires récurrents, de peur de froisser un directeur influent. Le problème a continué, causant une dérive financière majeure.

Comment éviter :

  • Rappeler que l’auditeur rend compte au comité d’audit ou à la direction générale, non aux opérationnels.
  • Inclure des clauses d’indépendance dans la charte d’audit.
  • Former les auditeurs à la posture professionnelle et éthique.

5. Produire un rapport trop technique ou inutilisable

Erreur fréquente : L’audit se conclut par un rapport trop dense, rempli de jargon, sans hiérarchisation claire des constats et recommandations.

Exemple concret :
Un rapport d’audit interne de 60 pages sur un système ERP a été remis à la DG. Trop technique, sans priorisation, il n’a pas été lu ni mis en œuvre.

Comment éviter :

  • Rédiger un executive summary clair (2 pages max).
  • Classer les constats selon leur criticité (faible, modérée, élevée).
  • Formuler des recommandations pratiques, hiérarchisées et avec un plan d’action.

Bonus : Ne pas assurer le suivi des recommandations
Même après un rapport solide, beaucoup d’audits perdent leur valeur faute de suivi.
Solution : mettre en place un plan de suivi avec indicateurs, validé par la direction, et un reporting régulier sur l’avancement.

Conclusion
Un audit réussi ne repose pas uniquement sur la rigueur méthodologique. Il exige aussi une bonne préparation, des preuves solides, une indépendance absolue et une communication claire.
En évitant ces erreurs fréquentes, les missions d’audit deviennent de véritables leviers de performance, de transparence et de gouvernance pour l’entreprise.

Vous souhaitez renforcer l’efficacité de vos missions d’audit interne ou externe ?
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Ifrs

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Transition vers les IFRS : pièges à éviter et bonnes pratiques

Introduction

La transition vers les normes IFRS (International Financial Reporting Standards) représente un défi majeur pour les entreprises, en particulier lorsqu’elles sont habituées à des référentiels nationaux comme l’OHADA, le SYSCOHADA ou le PCG français.
Si l’adoption des IFRS permet une meilleure comparabilité et une attractivité accrue vis-à-vis des investisseurs internationaux, elle comporte aussi des pièges courants qui peuvent fragiliser la qualité de l’information financière.
Dans cet article, nous passons en revue les pièges à éviter et les bonnes pratiques à adopter pour réussir cette transition.

1. Sous-estimer la complexité de la transition

  • Erreur fréquente : Considérer la migration IFRS comme une simple conversion comptable.
    En réalité, la transition implique :
  • Une refonte des processus comptables,
  • Une révision des systèmes d’information,
  • Une sensibilisation des opérationnels,
  • Un changement de culture en matière de reporting.

Exemple concret : Une banque africaine a abordé la migration IFRS comme une « simple reclassification » de comptes OHADA. Résultat : des incohérences majeures dans les évaluations d’instruments financiers (IFRS 9), ayant entraîné un rejet de ses états financiers par les investisseurs.

Bonne pratique : Lancer un diagnostic préalable pour identifier les écarts entre référentiel local et IFRS, et bâtir un plan de transition pluriannuel.

2. Mauvaise évaluation des actifs et passifs

Piège classique : Ne pas maîtriser les méthodes d’évaluation à la juste valeur exigées par les IFRS.
Exemples de normes complexes :

  • IFRS 9 : classification et évaluation des instruments financiers,
  • IFRS 16 : comptabilisation des contrats de location,
  • IAS 36 : tests de dépréciation (impairment tests).

Exemple concret : Une société immobilière a continué d’évaluer ses immeubles au coût historique, sans appliquer la juste valeur. L’écart de valorisation dépassait 25 % du total bilan.
Bonne pratique : Mettre en place une politique claire de valorisation et travailler avec des experts indépendants pour fiabiliser les données.

3. Négliger l’impact sur les systèmes d’information

Erreur fréquente : Croire que la transition IFRS n’impacte que la comptabilité.
En réalité, les ERP et outils de reporting doivent être adaptés.

  • Création de nouvelles rubriques dans le plan de comptes,
  • Automatisation des retraitements IFRS,
  • Mise à jour des reportings consolidés.

Exemple concret : Une multinationale minière a dû reprendre l’intégralité de son ERP SAP car les modules IFRS n’avaient pas été configurés au départ. Résultat : retard de 12 mois dans la production des états consolidés.
Bonne pratique : Impliquer très tôt la DSI et prévoir des tests de cohérence entre systèmes locaux et consolidation IFRS.

4. Manque de formation des équipes

Piège courant : Limiter la transition IFRS à l’équipe comptable, sans impliquer le contrôle de gestion, la fiscalité ou même les opérationnels.
Or, certaines normes ont un impact opérationnel fort :

  • IFRS 15 (reconnaissance du chiffre d’affaires) → impact sur la facturation et les contrats clients,
  • IFRS 16 (leasing) → impact sur la gestion immobilière et automobile.

Exemple concret : Dans une entreprise de télécoms, les commerciaux continuaient à rédiger des contrats sans intégrer les contraintes IFRS 15, ce qui faussait la reconnaissance du revenu.
Bonne pratique : Mettre en place un plan de formation transversal incluant direction financière, contrôle de gestion, juridique, IT et opérationnels.

5. Communication insuffisante avec les parties prenantes

Erreur fréquente : Produire les états IFRS sans pédagogie, en oubliant que les investisseurs, banquiers et actionnaires doivent comprendre les changements.
Exemple concret : Une société cotée en Afrique de l’Ouest a vu son cours boursier chuter après sa première publication IFRS, faute d’avoir expliqué les impacts des retraitements (notamment IFRS 16 sur la dette).

Bonne pratique :

  • Préparer un document de communication financière expliquant les écarts entre anciens comptes et IFRS,
  • Organiser des réunions avec les investisseurs et partenaires financiers,
  • Publier un bilan pédagogique la première année de transition.

Conclusion
La transition vers les IFRS est une opportunité stratégique pour renforcer la crédibilité et l’attractivité de l’entreprise.
Mais elle ne doit pas être réduite à une opération technique : elle touche à la gouvernance, aux systèmes d’information et à la communication financière.

En évitant les 5 pièges identifiés et en adoptant les bonnes pratiques présentées, les entreprises peuvent transformer cette contrainte réglementaire en véritable levier de performance et de transparence.

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Cybersécurité

Protégez vos données, vos actifs et votre réputation grâce à une approche intégrée de la cybersécurité, de la gouvernance IT et de la résilience opérationnelle.

Pourquoi la GRC devient incontournable pour les PME ?

Introduction

Les menaces cybernétiques ne concernent plus seulement les grandes multinationales.
Les PME sont désormais en première ligne : 43 % des cyberattaques dans le monde les ciblent directement (source : Verizon Data Breach Report).
Face à cette réalité, la GRC (Gouvernance, Risques et Conformité) s’impose comme un levier stratégique. Loin d’être un simple jargon, la GRC permet aux PME de structurer leur approche de la cybersécurité, d’anticiper les risques et de respecter les réglementations.

1. La menace grandissante pour les PME (H2)

Contrairement à une idée reçue, les petites et moyennes entreprises ne sont pas « trop petites » pour intéresser les cybercriminels.

  • Elles sont souvent moins bien protégées.
  • Elles détiennent des données sensibles (clients, finances, propriété intellectuelle).
  • Elles peuvent servir de porte d’entrée pour attaquer de plus grands partenaires.

Exemple concret : Une PME de services en Afrique de l’Ouest a subi une attaque par rançongiciel.
Les données clients ont été chiffrées et une rançon exigée. Faute de plan de continuité, l’activité a été paralysée 3 semaines.

2. Comprendre la GRC appliquée à la cybersécurité (H2)

La GRC repose sur trois piliers :

  • Gouvernance : définir les responsabilités, la stratégie cybersécurité et les politiques internes.
  • Risque : identifier, évaluer et traiter les menaces (cyberattaques, fuites de données, pannes IT).
  • Conformité : respecter les réglementations et standards (RGPD, ISO 27001, loi sur la protection des données).

Exemple concret : Une PME française dans le e-commerce a mis en place une politique GRC simple :

  • Gouvernance → un référent cybersécurité nommée au comité de direction.
  • Risque → cartographie des risques IT (phishing, perte de données).
  • Conformité → mise en conformité avec le RGPD (charte clients + registre de traitement).

Résultat : réduction de 40 % des incidents liés à des erreurs humaines.

3. Les pièges à éviter pour une PME

1. Croire que la cybersécurité coûte trop cher → Les attaques coûtent souvent bien plus (pertes financières, réputation, amendes).
2. Penser que l’informatique seule suffit → La GRC implique aussi la direction, les RH, le juridique.
3. Négliger la sensibilisation du personnel → 80 % des cyberattaques réussies sont liées à des erreurs humaines (clic sur un lien frauduleux, mot de passe faible).

Exemple concret : Dans une PME de transport, un simple email frauduleux a permis à un pirate de détourner 50 000 € via un faux RIB. Un plan de sensibilisation aurait suffi à éviter l’incident.

4. Bonnes pratiques pour mettre en place une GRC efficace

a) Gouvernance

  • Nommer un responsable cybersécurité (interne ou externe).
  • Établir une charte informatique claire pour les employés.
  • Impliquer la direction générale dans le suivi des indicateurs.

b) Gestion des risques

  • Réaliser une cartographie des risques IT.
  • Identifier les actifs critiques (ERP, emails, données clients).
  • Mettre en place un PCA/PRA (plan de continuité et reprise d’activité).

c) Conformité

  • Respecter le RGPD et les lois locales sur la protection des données.
  • Se rapprocher de standards comme ISO 27001 (sécurité de l’information).
  • Documenter les procédures de sécurité et de conformité.

Exemple concret : Une PME industrielle au Togo a défini un plan de continuité d’activité après avoir subi une coupure électrique prolongée. Résultat : continuité assurée grâce à un serveur de secours externalisé.

5. Les bénéfices concrets pour une PME (H2)

Mettre en place une démarche GRC, ce n’est pas seulement éviter des attaques. C’est aussi :

  • Renforcer la confiance des clients et partenaires (preuve de sérieux).
  • Réduire les coûts liés aux incidents (pertes de données, arrêts de production).
  • Accéder à de nouveaux marchés où la conformité est un prérequis (ex. : appels d’offres internationaux).

Exemple : Un cabinet de conseil africain a décroché un contrat avec une banque internationale car il avait documenté sa politique de conformité et obtenu une certification ISO.

Conclusion

La cybersécurité n’est plus une option pour les PME. Avec la GRC, elles disposent d’un cadre structuré pour gouverner, gérer les risques et rester conformes aux exigences légales et contractuelles.
Adopter cette démarche permet non seulement de réduire les vulnérabilités, mais aussi de créer un avantage concurrentiel en inspirant confiance aux clients, investisseurs et partenaires.

Appel à l’action

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Livres blancs

« 10 indicateurs clés pour piloter votre PME »
« Cyber & Finance : le duo stratégique pour 2025 »
« Guide pratique de l’audit interne en Afrique de l’Ouest »
« IFRS vs OHADA : points clés pour les décideurs »

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